Publifarum n° 15 - Francophonie et médias

Panorama et expansion de la presse électronique francophone

Laure BIANCHINI



Abstract

This contribution presents the first results of an ongoing didactic project which started in 2007 and whose aim was to encourage students to acquire a general knowledge about French-speaking online newspapers. More precisely, students were asked to contribute to the construction of our press database (Presse Francophone en Ligne website) and to write press reviews. The data collected so far show that the expansion of French-speaking online press covers all areas of the French-speaking world despite clear economical and infrastructural unbalances and that online newspapers are quickly and successfully developing.

Si la presse n'existait pas, il faudrait ne pas l'inventer.
(Honoré de Balzac)

Introduction

Ce texte présente les premiers résultats d’un projet didactique que nous avions commencé en 2007 avec les étudiants du Master II en Communication internationale de la Faculté de Langues et Littératures étrangères de l’Université de Gênes, et qui ont déjà fait l’objet d’une communication dans le cadre des Journées de la Francophonie 2009. Les objectifs du cours étant de permettre aux étudiants d’acquérir une connaissance générale du monde francophone à travers la presse de langue française en ligne, de les familiariser avec la presse internationale francophone, d’en comprendre les informations, de savoir les sélectionner et les synthétiser dans le but de les amener à savoir faire, d’une part une revue de presse francophone internationale, et, d’autre part d’enrichir le site PRESSE FRANCOPHONE en ligne1 que nous avons créé pour l’occasion. Cependant, parier de faire un cours durant une année universitaire, voire plus, sur un média tel la presse francophone mondiale présente sur la Toile pouvait apparaître comme un défi.

En effet, les promesses d’obtenir un échantillon représentatif de la presse numérique pour tous les pays utilisant la langue française pouvaient conduire à une forte inégalité entre les zones francophones, sachant que le nombre de serveurs et d’utilisateurs Internet, dans les pays membres et associés à l’Agence de la Francophonie, était fortement inégalitaire2 depuis ses débuts. Par ailleurs, le déséquilibre Nord/Sud en matière d’information mondiale a déjà été vivement dénoncé à plusieurs reprises à partir de novembre 1976, durant la conférence générale de l'UNESCO réunie à Nairobi. Les pays du Nord passent ceux du Sud sous silence: 70% de l'information publiée sur l'étranger par les journaux du Nord est consacrée aux pays industrialisés3. A cette inégalité s’ajoute un déséquilibre global réel qui touche les secteurs des infrastructures de production, allant d’un déficit de la production du papier pour le tirage des éditions, jusqu’à la faiblesse générale de toutes les infrastructures de la communication, qui s’amplifie avec l'apparition des nouvelles technologies de l’information.

Il nous restait à découvrir l’état de la presse francophone présente sur le Web dans l'espoir de trouver suffisamment de matériel pour atteindre les objectifs du cours, mais aussi de connaître la répartition géographique des journaux en ligne, à savoir leur distribution dans les différents pays de l'espace francophone.

L'état de la presse dans le monde

Le rapport annuel de l’Association mondiale des journaux (AMJ4), publié le 2 juin 2008, indique que la presse écrite reste le plus grand support publicitaire mondial, avec une part de marché de 40%, devant la télévision (38%). Par ailleurs, le nombre d'exemplaires de la presse payante a augmenté de 2,57% sur un an et «si l'on ajoute les quotidiens gratuits à la diffusion des titres payants, la diffusion globale des journaux a augmenté de 3,65% l'an dernier (2007) et de 14,3% depuis cinq ans», précise le bilan de la profession.

Les cinq plus grands marchés de presse sont la Chine, avec 107 millions d'exemplaires vendus quotidiennement, l'Inde avec 99 millions, le Japon avec 68 millions, les Etats-Unis avec près de 51 millions et l'Allemagne avec 20,6 millions. L'Asie enregistre une progression de 3,61% en 2006, l'Amérique latine de 4,55%, l'Afrique de 0,65% et l'Australie et l'Océanie de 2,11%. Par contre, dans les pays de l'Union européenne, la diffusion des quotidiens payants a enregistré une baisse de 2,37% en 2007 et de 5,91% depuis 2003. Alors que la diminution est marquée en Allemagne (-2,38%) et au Royaume-Uni (-3,46%), elle s’avère moindre en France (-0,48%).

En revanche, la nette augmentation des titres électroniques doit être prise en considération. Le nombre de sites web de journaux a augmenté de 13,77% en 2007 et de 50,77% sur cinq ans depuis 2003. Il est dès lors prévu que les revenus publicitaires Internet des journaux devraient plus que doubler au cours des cinq prochaines années et représenteront 12% des recettes publicitaires des journaux d’ici 2011. Et pourtant, encore en 2002, les spécialistes s’accordaient pour dire que l’explosion prévue de la presse en ligne tardait à arriver, ceci pour plusieurs raisons, dont l’une est à retenir: «les éditeurs de presse ne savent pas utiliser Internet. Ce n'est pas ancré dans leur pratique courante et leur business plan»5.

Compte tenu de l’envolée des titres en ligne à partir de 2003 et jusqu’en 2007, nous pouvons constater que les éditeurs de presse ont su rattraper le retard qu’ils avaient sur la Toile. De la vente des archives aux gains de la publicité et parfois à l’abonnement en couplage de la version papier à son support électronique, il est clair que le développement de la presse sur le web est aussi, voire surtout, une affaire de marché. Dans ce panorama de la presse mondiale, qu’en est-il plus précisément de la presse francophone?

Histoire de la presse francophone

La presse francophone a des origines lointaines, «ainsi à la veille de la première guerre mondiale pouvait-on acheter quotidiennement Le Journal de Pékin, L’Indépendance roumaine, Le Phare d’Alexandrie, Le Courrier du Mexique … etc. Mieux, de nombreux pays dans le monde ont eu pour premier journal une publication en langue française; et c’est le cas pour la moitié des Etats autour de la Méditerranée»6. L’histoire de la presse française en Europe et dans le monde naît avec La Gazette sortie le 30 mai 1631, sous le règne de Louis XIII et sur volonté de Richelieu. Son fondateur est Théophraste Renaudot, réformateur visionnaire qui invente cet hebdomadaire de quatre à douze pages selon les semaines. Il s'agit de communiqués officiels et de nouvelles de l'étranger. Richelieu et le roi Louis XIII lui confient des articles où ils expliquent notamment leur politique étrangère; le tirage de La Gazette atteint très tôt les 800 exemplaires. A partir de là, les Gazettes en langue française se multiplient dans les capitales européennes: c’était le siècle où la langue française était langue de l’Europe. Rachetée par le gouvernement au siècle suivant, La Gazette disparaîtra dans l'indifférence générale pendant la Première Guerre mondiale.

Au fil des années et des siècles, la presse en français se répand dans le monde grâce à plusieurs étapes historiques: de la Révolution aux conquêtes napoléoniennes avec la création de journaux français de propagande révolutionnaire faits par les patriotes du nouveau monde, ou bien les journaux contre-révolutionnaires faits par les émigrés et leurs sympathisants; de la presse des armées avec des titres tels l’Armée d’Italie ou le Courrier d’Egypte, parmi les premiers reporteurs de guerre de l’armée de Bonaparte, aux journaux du Nouveau Monde qui s’affrontent sur le thème de l’esclavagisme et de l’anti-esclavagisme.

La diffusion de la presse francophone s’accentuera à travers la progression de l’empire colonial de la France, dans une grande variété allant des journaux officiels des autorités coloniales, à ceux de la presse des missionnaires, aux journaux commerciaux, à ceux des colons, jusqu’aux journaux des indigènes, qui, pour échapper « aux lois d’exception qui frappaient généralement la presse en langue locale considérée comme étrangère par l’administration française et très strictement contrôlée par les administrations indigènes dans le cas d’un protectorat7» , adoptèrent le français. Ce fut le cas du Musulman en Algérie et de l’Action du peuple au Maroc. Ce n’est donc pas un hasard si l’Afrique (du Nord et subsaharienne) est la zone géographique où se concentre une grande partie de journaux en français, comme nous le verrons dans la présentation des résultats.

De la presse papier à la presse électronique: une opportunité didactique

Le site GIGA-Presse recense 802 journaux et magazines en langue française gratuits sur le Net et possède plus de 3000 références complémentaires en kiosque. Bien entendu, il s’agit de titres de tous genres: des magazines people, aux revues thématiques, des périodiques de l’actualité à des mensuels ou bimensuels scientifiques, de la vente de DVD aux BD. Giga-Presse représente la quasi-totalité de ce qui se publie dans le monde francophone en ligne, on y trouve toutes sortes de revues et magazines confondus, avec évidemment une part importante pour les pays occidentaux (France, Belgique, Québec) riches en revues scientifiques et en magazines thématiques.

Notre étude délimitera son enquête à un recensement et à une analyse des quotidiens en ligne, exceptionnellement à quelques hebdomadaires d’actualité pour des pays comme l’Egypte qui compte peu ou pas de quotidiens en langue française. Les étudiants de la IIe année du Master en Communication internationale répertorient depuis 2007 les quotidiens francophones présents sur la Toile pour chaque pays où ils existent. Notre intérêt pour les seuls quotidiens se justifie par des contraintes pédagogiques, l’un des objectifs de ce cours étant celui d’amener les étudiants à savoir faire une revue de presse francophone, d’où l’intérêt pour une presse d’actualité nationale et internationale ayant une diffusion essentiellement quotidienne.

Articulé sur plusieurs étapes, ce cours de 30 heures en présence en prévoit autant de travail individuel. Il s’agit de sensibiliser une vingtaine d’étudiants divisés en groupes (de deux/trois personnes) à effectuer un travail de recherche sur la Toile, afin d’y repérer les journaux en langue française. Chaque groupe choisit une zone géographique d’enquête pour laquelle effectuer la recherche, chaque zone comprenant un ou plusieurs pays. Le partage par zone géographique permet aux différents groupes de prendre en charge la connaissance des pays concernés: leur histoire liée à la francophonie, le repérage des journaux en langue française et le classement de ces derniers en remplissant la fiche d’évaluation (technique, graphique, électronique, richesse des rubriques, des enquêtes, de l’iconographie, l’ergonomie, etc.). Au terme de cette évaluation, les étudiants rédigent un chapeau qui accompagnera le titre du quotidien et son adresse électronique dans le répertoire du site PRESSE FRANCOPHONE en ligne.

Le site permet d’avoir un aperçu global de tous les journaux électroniques répertoriés; les apprenants disposent ainsi de tout le matériel nécessaire pour analyser un sujet d’actualité en parcourant l’information à travers les cinq continents. Chaque année universitaire a porté de nouveaux journaux et de nouvelles informations, chaque nouveau journal est inséré et, lorsqu’un journal disparaît, on l’indique par un symbole. L’analyse d’un fait d’actualité, effectuée en lisant en miroir plusieurs quotidiens de nations qui partagent une langue commune, tout en ayant cultures et visions du monde différentes, enrichit la didactique d’une valeur interculturelle et d’une approche à la diversité culturelle, notions qui siéent autant au cursus universitaire en question qu’à la Francophonie. Vu la croissance de la presse électronique de ces deux dernières années, le nombre de données accumulées demande encore une mise à jour exhaustive du site, mise à jour qui sera élaborée parallèlement à l’avancement des travaux des étudiants.

Les résultats: vers une expansion de la presse électronique francophone

En déplaçant notre attention essentiellement sur les journaux qui s’occupent d’actualité quotidienne, nous avons répertorié jusqu’à aujourd’hui environ 165 quotidiens. Contre toute attente, l’Afrique offre la gamme la plus riche et la plus variée de quotidiens en ligne, pour un total de 118 titres distribués sur 23 Etats africains plus trois Iles ou Archipels africains.

Voici un aperçu de la répartition des journaux répertoriés pour les pays de l’Afrique francophone. La liste n’est pas exhaustive, mais que provisoire:
Algérie (9), Bénin (13), Burkina (9), Burundi (2), Côte d'Ivoire (9), Cameroun (7), Comores (4), Congo (4), Djibouti (1), Egypte (2), Erythrée (1), Guinée (2), Madagascar (2), Mali (3), Maroc (4), Maurice (3), Mauritanie (3), Niger (2), République Centrafricaine (4), République Démocratique du Congo (8), Rwanda (1), Sénégal (6), Tchad (6), Togo (7), Tunisie (6)8.

Traditionnellement présentée comme le continent de la culture orale, il n’est pas surprenant de constater que le média qui rayonne le plus en Afrique est la radio9, ce qui se justifie en partie par le fait que «la radio est le seul média dont on puisse bénéficier en faisant autre chose»10, c’est-à-dire lorsque les personnes vaquent à leurs occupations quotidiennes. Certes, la célèbre phrase d’Amadou Hampaté Bâ, «en Afrique, quand un vieillard meurt, c’est une bibliothèque qui brûle»11 est toujours d’actualité; cependant, l’augmentation des journaux en ligne et leur présence dans tous les pays démontrent que l’Afrique sait conjuguer le moderne au traditionnel.

Observons maintenant la relation de l'Afrique à l'écrit et au virtuel. L’un des premiers obstacles à la presse écrite est l’analphabétisme, les journaux se trouvent, de fait, confrontés à une faiblesse de l'alphabétisation. Selon le rapport pour l’alphabétisation de l’Institut de statistiques de l’UNESCO12, en 2006, un adulte sur cinq était analphabète et environ 70% des adultes analphabètes vivaient dans trois régions: l’Afrique subsaharienne, l’Asie du Sud et de l’Ouest, les États arabes et l’Afrique du Nord. Cependant, si en 1990, dans la région subsaharienne l’analphabétisme touchait 50% de la population, le rapport de 2006 indique que six adultes sur quatre savent lire et écrire, soit 60% de la population. L’Afrique est le continent où le marché de la presse papier progresse le moins vite (0,65% selon le rapport AMJ 2008); nous pourrions faire l’hypothèse que la vente de journaux suit le cours de l’alphabétisation, mais aussi celui du niveau de vie: un journal coûte aussi cher qu’un kilo de sel dans les pays les plus pauvres. D’autre part, l’analphabétisme qui perdure a des conséquences dramatiques pour beaucoup de secteurs: de l’agriculture, où des paysans voient leur production de café ou de cacao sous-évaluée par des gérants de coopérative sans scrupules, à la simple employée de maison qui perd son poste, car elle ne sait pas déchiffrer la liste des courses. Ce déclin des campagnes et des activités primaires semble ne pas trop influencer la progression de la presse de langue française en ligne en Afrique, ni les portails de presse panafricaine en langue française, tels Jeune Afrique, Afrik.com ou AllAfrica.com

Les portails de l’information tels Afrik.com, Jeune Afrique ou AllAfrica.com sont surtout consultés par la diaspora africaine et s’inscrivent dans une perspective panafricaine. Ils sont riches en actualités et ont un profil d’Agences de presse. AllAfrica.com est un site Web, en anglais et en français, qui affirme publier chaque jour «un millier d'articles de presse émanant de plus d'une centaine de publications africaines, ainsi que de diverses sources d'informations». Le site est chapeauté par la société AllAfrica Global Media inc., fournisseur de contenus multimédia et développeur de services. La société a son siège social à l'Ile Maurice et dispose de bureaux à Washington (États-Unis) et dans plusieurs pays africains: Dakar (Sénégal), Lagos (Nigeria) et Johannesburg (Afrique du Sud).

En Europe les pays francophones qui diffusent des quotidiens en ligne sont bien évidemment la France, la Belgique, la Suisse et le Luxembourg. Nous avons répertorié une vingtaine de quotidiens nationaux qui représentent la quasi-totalité des quotidiens de ces quatre pays. Comme nous l’avons déjà précisé plus haut, pour des contraintes didactiques nous avons omis les hebdomadaires et les mensuels d’actualité. La France est le pays où la concentration de quotidiens en ligne est la plus importante pour l'Europe; à Paris on trouve le siège de l’Agence France-Presse (AFP), la plus ancienne des trois agences de presse généralistes mondiales, la troisième en matière de chiffre d'affaires.

Au Canada et plus précisément au Québec, la plupart des quotidiens nationaux et régionaux sont publiés sur le portail de Cyberpresse ; homologués dans leur format, ils conservent leur spécificité dans les contenus. Les grands titres nationaux tels Le Devoir et Le Journal de Montréal sont distribués sur tout le territoire et possèdent leur propre domaine Internet. On notera une grande richesse de la presse régionale québécoise avec Le Quotidien, La Tribune, La Voix de l’Est et comme particularisme régional l’Acadie Nouvelle, le seul quotidien de langue française à être publié et lu dans la province bilingue du Nouveau-Brunswick.

En Asie de l’Est et du Sud-Est les recherches sont à leur début et ont porté quelques fruits: un quotidien au Vietnam, un autre au Cambodge et au Laos, ainsi que des journaux en français comme Aujourd’hui la Chine, Aujourd’hui l’Inde, etc… qui sont écrits par les expatriés. Ils fournissent des informations sur les pays en question, mais ne sont pas le produit d’une écriture locale. Il serait intéressant de savoir si des Indiens, des Chinois ou des Coréens utilisent ces journaux pour interagir dans les forums, dire ce qu’ils ne pourraient pas dire dans un journal national et dans leur langue maternelle.

Aux Caraïbes, c’est Haïti qui détient la primauté des quotidiens en ligne avec Le Matin et Le Nouvelliste. Par contre la Guyane, La Martinique et la Guadeloupe ne présentent qu’une presse régionale regroupée sur le site Franceantilles du groupe Hersant Média. Quelques autres publications sous forme d’actualités apparaissent sur des sites très peu performants.

Conclusion

Les premiers résultats obtenus par notre étude nous amènent à constater que l’expansion de la presse électronique de langue française a touché toutes les zones géographiques de la Francophonie malgré les déséquilibres économiques et infrastructurels des différents Etats francophones. La distribution sur les cinq continents de quotidiens francophones est la preuve de sa vitalité et de sa diversité. Si les Amériques concentrent la presse francophone surtout au Québec, l’Afrique en revanche la répartit du nord au centre, jusqu’à Madagascar et à l’Océan indien avec les 118 titres que nous avons répertoriés jusqu’à aujourd’hui. Une énième démonstration «qu’en tout état de cause, le français n’est plus en Afrique une langue étrangère. D’origine étrangère, cette langue est aujourd’hui africaine, au même titre que nos langues maternelles»13.

Bien évidemment, l’importance du nombre de quotidiens publiés en ligne n’équivaut pas forcément à un nombre important d’utilisateurs locaux, mais reste le fait que la presse numérique évolue très vite, se perfectionne au niveau technique, et que le foisonnement de la presse francophone sur la Toile, en particulier celui des quotidiens, est un secteur en pleine évolution, à suivre et à découvrir.

Bibliographie et sitographie

G. KRAEMER (1995), Trois Siècles de presse francophone dans le monde. Paris : L’Harmattan
H. LOPES (2003), Ma grand-mère bantoue et mes ancêtres les Gaulois, Paris : Continents noirs Gallimard
X. DUMONT, Le déséquilibre Nord-Sud de l’accès à l’information, http://www.aedev.org/fichiers/travaux/xdumont/html/sommaire.htm
E. LACROIX, L'internet au Burkina Faso en 2002 : situation, enjeux et perspectives, http://www.bobodioulasso.net/ntic/15.htm
F. MARIET (2002) http://www.journaldunet.com/0201/020131startup.shtml
UNESCO, Rapport 2006 sur l’Alphabétisation,
http://www.unesco.org/new/fr/education/themes/leading-the-international-agenda/efareport/reports/2006-literacy/





Note

↑ 1 http://www.farum.it/pressefrancophone/index.php

↑ 2 X. DUMONT, Le déséquilibre Nord-Sud de l’accès à l’information, consulté en mai 2009, http://www.aedev.org/fichiers/travaux/xdumont/html/sommaire.htm

↑ 3 E. LACROIX, L'internet au Burkina Faso en 2002 : situation, enjeux et perspectives, consulté en mai 2009, http://www.bobodioulasso.net/ntic/15.htm

↑ 4 http://www.wan-ifra.org/ (consulté en juillet 2011).

↑ 5 F. MARIET (2002), http://www.journaldunet.com/0201/020131startup.shtml

↑ 6 G. KRAEMER (1995) Trois Siècles de presse francophone dans le monde. Paris : L’Harmattan, p. 10

↑ 7 G. KRAEMER (1995) Trois Siècles de presse francophone dans le monde. Paris : L’Harmattan, p. 93

↑ 8 http://www.farum.it/pressefrancophone/index.php?op=browse_countries&cont=2

↑ 9 G. KALENDA nous informe à ce propos dans ce numéro.

↑ 10 J-P. CLUZELl, président de Radio France Internationale (RFI), Afrik.com

↑ 11 A l’UNESCO en 1960

↑ 12 http://www.unesco.org/new/fr/education/themes/leading-the-international-agenda/efareport/reports/2006-literacy/

↑ 13 H. LOPES (2003), Ma grand-mère bantoue et mes ancêtres les Gaulois, Paris : Continents noirs Gallimard, p.16

 

Dipartimento di Lingue e Culture Moderne - Università di Genova
Open Access Journal - ISSN 1824-7482