La question de la violence. Manchette et après
DOI:
https://doi.org/10.15167/1824-7482/pbfrm2020.34.1857Parole chiave:
terrorisme, violence, Lucas Belvaux, Mathieu Riboulet, Olivier RolinAbstract
Partant de l’affirmation de Jean-Christophe Bailly qu’en Mai 68 « la mort fut absente », j’analyse la nature du « mouvement » et la définition paradoxale de la violence révolutionnaire. La condamnation du terrorisme est très tôt engagée par Manchette dans Nada (1972) et mène à suivre le décalage de l’action terroriste en France, comparée à l’Allemagne et l’Italie. Je suis sa représentation chez Rolin et Riboulet comme dans le film de Lucas Belvaux : Cavale.
Pubblicato
2020-09-14 — Aggiornato il 2022-03-16
Fascicolo
Sezione
Formes poétiques, formes politiques
Licenza
Copyright (c) 2020 Publifarum
Questo lavoro è fornito con la licenza Creative Commons Attribuzione - Non commerciale 4.0 Internazionale.