Bande-son : Tanguy Viel et la musique

Auteurs

  • Catherine Haman Université du Littoral Côte-d'Opale

DOI :

https://doi.org/10.15167/1824-7482/pbfrm2021.35.1959

Résumé

Cet article réfléchit à la part occupée par la musique dans l’univers romanesque de Tanguy Viel, en analysant plus précisément deux œuvres, Le Black Note et La disparition de Jim Sullivan. Ces deux romans, très différents dans leur facture et dans leur démarche, offrent cependant une vision assez semblable de la fonction de celle-ci dans un univers littéraire que l’on sait très intermédial.

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Publiée

2021-12-16 — Mis à jour le 2022-04-30

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Rubrique

(S’)écouter, (s’)écrire : la mélomanie comme moteur du récit de soi