Mariages d’antan. Le comique verbal dans les farces conjugales de Georges Feydeau.

Autori

  • Fabio Perilli

Abstract

Septembre 1909. Le mariage des Feydeau bat de l’aile1. Après vingt ans de vie commune, Georges Feydeau quitte sa femme pour aller vivre à l’Hôtel Terminus, deuxième étage, appartement 189. En fait le couple traverse une crise profonde depuis presque dix ans. Noctambule impénitent, Georges néglige sa famille, il passe ses nuits chez Maxim’s ou dans les cafés de boulevard en compagnie d’amis noceurs ou de « poules » charmantes, pour rentrer chez lui aux premières lueurs de l’aube. Marie-Anne, pour sa part, toujours plus intéressée à ses toilettes et à ses chapeaux, pour lesquels elle dépense des sommes d’argent considérables, accable son mari de plaintes, de récriminations, de reproches qui ont pour effet d’éloigner de plus en plus l’homme du domicile conjugal. 

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Pubblicato

2007-02-05